«Huis-clos» par Jean-Paul Sartre
GARCIN : Vous n'avez pas peur, vous ?
INES : Pourquoi faire ? La peur, c'était bon avant, quand nous gardions de l'espoir.
GARCIN doucement : Il n'y a plus d'espoir, mais nous sommes toujours avant. Nous n'avons pas commencé de souffrir, mademoiselle.
INES : Je sais. (Un temps.) Alors? Qu'est-ce qui va venir?
GARCIN : Je ne sais pas. J'attends.
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7 comments:
This is a very interesting piece. I love the way Sartre has brought the afterlife to life. The characters are great and their conversations are very entertaining.
C’est intéressant voir l’enfer de Sartre. Je crois qu’avant on pensait seulement des flammes et diables et fourches. Mais Sartre a créé un enfer nouveau. Une idée d’un enfer créé par nous-mêmes.
C'est interessant comment ces deux personnes voient leur punition. Ines accepte qu'il n'y a rien a faire, et Garcin pense qu'il y a toujours quelquechose qu'il peut faire. Mais, en parlant de l'enfer de Sartre, c'est un peu comment je l'imagine, rien de nouveau, rien change, juste l'attente. Comme c'est horrible.
I really like the idea behind this piece. It's like your typical book of love, murder, and self discovery, but with a hellish twist. I would like to see it on film.
I really enjoyed reading this. I makes you look at things in a different way, especially Hell. The way that the characters interact with each other is very interesting, you can really see the different personalities there.
C'est un peu comme l'avant-ombre, ces phrases, fans le contexte de ce pièce. Bien sûr, c'est la nature humaine d'esperer en quelque choses merveilleux après cette vie, il y a aussi l'invers. Mais après cette vie il n'y a pas la devination. On sait. On est calme. On est au courant. Mais Dan ce pièce, garcin a peur de ces deux dames qui peut-être va l'embêter, et causer une éternité ennuyueuse et dficile en enfer.
Je trouve que Sartre écrire bien la dialogue entre les participants dans cette pièce de théâtre. Je trouve que dans ce passage, Ines tiens un peu d'envie vers Garcin, peut-être parce qu'elle n'aime pas vraiment les hommes. L'espoir dans un sens et dans la personne, pas la situation selon Sartre et ses écrits.
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