L'auteur fait un peu d'introspection sur son art :
"Ce n'est point l'amour non plus qui se charge de la fortune des jeunes gens doués de quelque talent comme Julien ; ils s'attachent d'une étreinte invincible à une coterie, et quand la coterie fait fortune, toutes les bonnes choses de la société pleuvent sur eux. Malheur à l'homme d'étude qui n'est d'aucune coterie, on lui reprochera jusqu'à de petits succès fort incertains, et la haute vertu triomphera en le volant. Eh, monsieur, un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former."
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10 comments:
Nous avons un chemin en face de nous. Nous pouvons marcher étroitement, résolut d'aider les autres personnes sur la route. Fatigués de leur voyage, mais determinés de reprendre la route quand ils ont assez de force. Le voyage de l'avenir n'est pas un voyage pour l'être seûl. Si nous regardons derrière nous, nous verrons tous les personnages et événements dont lesquels nous aident et nous inspirent d'être à la place où nous sommes. Nous devons aider les personnes qui nous entourent. Nous avons en nous le désir insensé de corriger des personnes plus proches à nous, comme un homme portant un grand mirroir dans ses mains espérant de montrer aux autres leurs fauts et faiblesses, ne rendons compte que les mains du porteur du mirroir sont sales et deformées.
C’est un peu triste pour moi de voir les gens qui ne veulent que ce qu’ils ne peuvent pas avoir. (Mathilde aime Julien et il ne répond pas à elle. Puis Julien aime Mathilde quand elle ne l’aime plus.) Si on vit toujours cherchant en ce qu’on n’a pas, a la fin de la vie on va voir, en arrière, que la vie été vide. Notre âme et cœur aussi se seront ratatinés.
I thought this was a great story. Love will make people do and say things that look and sound so outrageous. It is so true that we Always want what we can't have. I don't know why we do this but its so funny what people will do to get what they can't have.
This is all very true. Humans are funny people. The grass is always greener on the other side, and then when we get to the other side, we think that the grass is now actually greener where we were before. Quoi faire? I liked this post a lot as well because the vocabulary and word usage is incredible. I've got a lot of words to look up.
My new favorite part in this story is definately Julien putting a sword to Mathildes throat. Forgive me, I'm a guy. This scene in the story was pretty intense, and I was really shocked at Mathildes reaction. Who would have thought that Juliens crazy ninja move would have caused even more sparks to fly. Normally, I would think, if someone threatened to stab another person, they'd be ticked! But I guess that's not the case with these two love birds. The more tension there is, the more love exists, the only time there seems to be no love, is when there is no tension.
This is a pretty amazing romantisicm passage from the Stendhal. Quand un homme se trouve dans le bourbier, c'est vraiment le haute vertu qui va lui aider dans sa vie. J'aime ce que ca dit au miror et ce qu'on voit dedans. "Un roman est miroir qui se promene sur une grande route."
This last section really shows the romantic influence of this era. With all the passion and emotion being portrayed between Julien and Mathilde. Like when he is about to kill her. When she "tortures" him by talking about all of her past loves. You especially see this at the end with the murder of Mme Renal, and Mathilde taking the head of Julien.
The ending of this story seemed so messy to me. murder, almost murder, accusations of murder. Maybe I am just too used to sweet endings where everyone ends up together. I was frustrated by Mathilde's flip flopping and Juliens constant paranoia and then depression. I wish it would have ended rather differently.
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